L’Ile de beauté par Sienna Ropert

Écrit par Sienna Ropert

Notre visite en Corse est gravée dans ma mémoire comme un nuage suspendu, isolé du chaos de mon dernier mois en France. Nous étions complètement imperméables à la situation du virus; pour nous, c’était loin. Nous n’aurions pas pu deviner à quelle vitesse la situation allait dégénérer, depuis notre bulle, nous n’aurions jamais rêvé à quel point le virus était proche. Dès que nous avons de nouveau mis les pieds en France métropolitaine, c’était comme si une sorte de mini-bombe avait explosé. On nous a demandé si nous avions voyagé dans le nord de l’Italie. Et à partir de ce moment tout est monté en spirale. Et maintenant je suis là, vous écrivant de ma maison en Californie, où je n’aurais pas dû être si tôt, à propos de mon voyage en Corse, la bulle flottante de calme avant la tempête.

Je suis arrivée un jour avant le groupe; j’étais seule et il faisait nuit. J’ai quitté mon hôtel pour marcher dans les rues d’Ajaccio, vides comme elles le sont en février. J’ai pris la petite rue à côté de mon hôtel; je l’ai suivi jusqu’au bout, là où elle rencontrait l’océan. Je ne pouvais voir l’eau que par le reflet de la lune. J’ai levé les yeux et j’ai été confrontée à une scène que je n’avais pas vue depuis plusieurs mois — le ciel de Paris la nuit est jaune des réverbères. Un spectacle d’étoiles, clair et brillant, m’a accueilli. L’océan ondulait doucement et la ville était silencieuse par rapport à Paris.

Maggie, Nam, Lily, et Tracy sont arrivés le lendemain matin; avant de les rencontrer, j’avais visité à la fois le marché aux puces, où j’ai acheté pour dix euros une charmante petite peinture carrée représentant une barque en bois amarrée au bord de l’océan, et le marché aux fruits et légumes, où j’ai acheté une pomme et deux clémentines pour un euro. Nous nous sommes assis ensemble, sous le soleil, avec tous nos bagages sur la terrasse d’un café qui vendait des paninis. Nous sommes revenus ici au moins trois ou quatre fois pendant notre séjour; non pas parce que c’était quelque chose de particulièrement de spécial, mais parce que la plupart des restaurants de la ville étaient fermés en hiver. Ayant pris un vol à 7 heures du matin, ils ont tous commandé au moins trois cafés chacun; les serveurs étaient légèrement confus, mais après notre troisième visite, n’étaient plus choqués par la pile ridicule de petites tasses à café sur notre table — ils nous en ont même offert quelques-uns gratuitement lors de notre dernière visite.

Lors de notre deuxième jour à Ajaccio, nous avons marché depuis notre Airbnb jusqu’au début d’un chemin de randonné, caché au bout d’une petite route. Nous avons grimpé en haut dans la montagne, en suivant la douce courbe de la côte. Nous avons traversé des bosquets ombragés, nous avons sauté à travers des ruisseaux bouillonnants et nous avons déjeuné sous d’énormes eucalyptus — le tout avec une vue magnifique sur la Méditerranée et ses nuances infinies de bleu. Il y avait une partie du chemin qui semblait presque suspendue au-dessus des nuages; courbée le long de la montagne, il était bordée de tous côtés par de grandes fleurs blanches et de lavandes sauvages. Le soleil était si bas à ce moment que sa lumière dorée filtrait à travers les pétales. Je suis retournée en ville un peu plus tôt que le reste du groupe; j’ai quitté le chemin au coucher du soleil.

Le lendemain, nous sommes partis d’Ajaccio dans un tout-petit train de trois ou quatre voitures. Il secouait sauvagement et le moteur a fait des bruits gémissants mais, malgré les bruits, il y avait un silence qui accompagnait ses belles vues. Nous avons traversé des forêts, des rivières, des cascades et d’immenses vallées. Nous avons croisé des vaches et des chevaux au pâturage. La plupart des petites gares où nous nous sommes arrêtés n’étaient rien que des petits bâtiments entourés de nature et de pâturages; la nôtre n’était pas différente. Le soleil disait au revoir au horizon en nous, on disait au revoir au petit train; il faisait noir quand nous sommes finalement descendus du train à Ponte Novu. Notre hôte et sa fille nous attendaient avec leurs voitures pour nous conduire à notre logement — nous étions trop jeunes pour louer une voiture.

Durant le court trajet en voiture à travers le chemin de montagne boisé (le chemin que nous allions plus tard monter et descendre plusieurs fois), nous avons appris que notre hôte et son frère étaient les seuls résidents permanents du village. Notre hôte avait grandi dans le village quand il y avait tous les villageois, au moins 80, il nous a dit. Il n’y avait aucune route goudronnée menant au village jusqu’en 1968. Il nous a dit qu’il montait et descendait ce chemin sur son âne pour prendre le train menant à l’école à Bastia.

Un soir, il nous a chanté des chansons traditionnelles corses. Lui et son frère ne se parlent qu’en corse — c’est la langue avec laquelle ils ont grandi. Une autre nuit, nous avons assisté à la soirée karaoké du village. Il y avait plein de gens qui chantaient des chansons françaises et corses — nous pensons que la plupart des résidants des villages aux alentours étaient présents. Tout le monde se connaissait.

On faisait de la randonnée, on préparait des dîners ensemble, on achetait de la nourriture au marchand ambulant, on caressait des ânes et des chiens, on cueillait des fleurs de mimosa, on chantait des chansons ensemble au soleil avec la guitare que notre hôte nous a prêtée. Il y avait un silence absolu — pas de voitures, seulement des chants d’oiseaux. 

Un jour, je me dirigeai seule vers l’ancien lavabo, recouvert de mousse et rempli d’eau fraîche de la source. J’ai entendu une source d’eau plus grande et j’ai grimpé la montagne jusqu’à un groupe de petites cascades, les chutes d’un ruisseau clair. J’ai marché le long de la route vers un village voisin. La porte du clocher de l’église était ouverte; j’ai grimpé deux échelles avec l’intention de voir la vue d’en haut, mais j’ai vite eu trop peur de trébucher sur ma jupe longue.

Après un retour en train à Ajaccio et un perfide trajet de trois heures en bus, nous étions finalement arrivés à la pointe sud de l’île: Bonifacio. J’y étais déjà venue une fois comme une très jeune enfant — quelques souvenirs brumeux ont resurgis lorsque notre arrivée dans le port au crépuscule. La ville fortifiée se dressa au-dessus du port, éclairé par des couleurs changeantes. Notre hôte nous a conduit jusqu’en haut; nous nous sommes faufilés dans des rues miniatures allant même dans des sens interdits, car de nombreuses rues étaient en construction pour préparer la ville pour les touristes d’été. Après quatre volées d’escaliers trimballant nos bagages, nous avons atteint notre appartement avec vue sur la vieille ville et la mer au-delà. 

Nous avons passé quelques jours merveilleux à Bonifacio, à marcher le long de l’océan (Maggie s’est même baignée), à profiter du soleil et à explorer la vieille ville et son ancienne base militaire, ses phares et son cimetière marin. Bonifacio, vacillant au bord des falaises blanches et entourée de montagnes verdoyantes, de criques secrètes et de buissons fleuris, est l’un des endroits les plus incroyables que j’aie jamais visités. Nous étions très tristes de partir.

Notre voyage en Corse s’est terminé dans le chaos. Notre courant a été coupé, le lavabo était bouché, nous lavions la vaisselle dans le lavabo de la salle de bain avec une lampe de poche et regardions The Hunger Games illégalement sur un ordinateur connecté au hotspot du portable de quelqu’un. Nous nous sommes réveillés à six heures du matin le lendemain pour prendre le bus à sept heures, Tracy s’est perdue, j’ai vomi dans le bus pour Ajaccio et nous avons failli rater le bus pour l’aéroport.

Mais ce n’était que le début du chaos qui nous attendait à Paris.

Écrit par Sienna Ropert — VWPP Spring 2020

Le 18e arrondissement hors des sentiers battus

Jacky, notre guide pour la journée, nous a permis de (re)découvrir Paris autrement grâce à une visite guidée axée autour de la Solidarité. Nous y découvrons notamment la vie associative d’un quartier multiethnique : la Goutte d’Or. Au cours de cette visite, nos étudiant·es sont allés à la rencontre de différentes associations et des habitant·es du quartier, de ceux et celles qui forgent chaque jour l’âme de la Goutte d’or. Nous déjeunons ensemble au Collectif 4C (Collectif Café Culture Cuisine) – Quartier Libre, un lieu de convivialité et de solidarité, café associatif, culturel, et cuisine du quartier : un espace partagé et à partager.

Comme Jacky est lui-même jardiner et activiste, il nous réserve une petite surprise, direction les jardins secrets du 18e : un bol d’air frais bien mérité ! Nous découvrons la petite ferme de le Goutte d’Or et ses animaux, une friche, des potagers, des jardins solidaires & partagés, des passages cachés et des adresses insolites (comme le bar à pétanque Les Mah Boules, la Brasserie de la Goutte d’Or etc.)

VWPP Spring 2020

Un parc de Paris

LES BUTTES CHAUMONT

Le parc des Buttes Chaumont est un de mes lieux préférés à Paris. En entrant dans cet immense espace vert au centre d’une ville bruyante et animée comme Paris, on entre dans un monde entièrement nouveau et séparé du chaos de la ville. C’est un univers fantastique, les Buttes Chaumont, avec le lac au centre, les falaises de pierre, les plantes qui ne sont pas complètement taillées, le kiosque au-dessus du lac, les ponts qui traversent l’eau, et les sculptures des femmes et hommes en style romain qui apparaissent partout dans le parc. En vrai, tout me fait penser à un univers féerique. Il y a vraiment une énergie différente dans le parc qui étreint les visiteurs de Paris et les emporte dans un espace tout à fait nouveau. Les collines qui sont presque tout autour du parc aussi nous donnent l’impression qu’on n’est plus à Paris parce que dans certains endroits on ne peut plus voir les immeubles en dehors du parc. En outre, l’effet de monter et de voir la ville depuis la coupole me donne l’impression que je vois la ville de plus loin et que même si je sais que la ville est tout autour du parc, j’en suis séparée par l’atmosphère particulière du parc.

         J’adore passer mes après-midis dans ce parc où on peut profiter du soleil pour plus longtemps que dans les rues de Paris grâce aux reliefs du parc. Il n’est pas caché par les bâtiments avant même son coucher. J’aime voir tous les groupes qui s’installent sur les collines qui restent au soleil le plus longtemps. On est tous attirés par le soleil comme les lézards ou les chats. En outre, il me semble que le parc est moins fréquenté par les touristes que les autres parcs à Paris, surtout si on évite le kiosque. En vérité, je ne sais pas si les gens que je vois sont les touristes ou pas, mais ce que je veux dire est que quand je suis aux Buttes Chaumont je n’ai pas l’impression que je suis entourée par les touristes, comme il me semble quand je suis au Jardin du Luxembourg, par exemple. Là, il y a bien sûr des Parisiens mais on voit beaucoup de gens qui prennent des photos et on sent vraiment qu’on est dans un lieu touristique. Même si je ne suis pas Parisienne, j’habite à Paris et donc je n’aime pas les lieux touristiques. En disant cela, je veux clarifier que j’aime bien le Jardin de Luxembourg mais plus longtemps je reste à Paris, plus j’essaie d’éviter les touristes. 

En me promenant dans le parc je peux aussi imaginer le parc au 19e siècle quand il a été créé. Il y a des choses partout dans le parc qui évoquent ces images pour moi comme le pavillon du lac et le vieux théâtre près de l’entrée principale. Quand je regarde les gens qui se promènent, je peux facilement voir les femmes dans des robes de 19e siècle avec les hommes dans leurs costumes. Je me demande quels types de gens ont fréquenté le parc quand il s’est ouvert en 1867. Maintenant les parcs sont des endroits pour tout le monde et je me demande si c’était toujours le cas avec les Buttes Chaumont et les autres grands parcs commandés par Haussmann.

Écrit par Betsy Cole — Spring 2019

Week-end à Aix-en-Provence

Les étudiant·es ont pu profiter de quelques jours dans le Sud de la France.

Le premier jour, nous sommes arrivés au Château La Coste et nous avons pu profité d’une balade “Art & Architecture”. Nous avons vu des œuvres de Tadao Ando, Louise Bourgeois, Alexander Calder… Nous avons ensuite visité une distillerie de lavande dans la ville d’Apt où nous avons pu observer le processus de création des huiles essentielles de lavande.

La fin de journée s’est déroulée dans un restaurant marocain. Voici quelques photos.

 

Le deuxième jour, nous avons fait une visite guidée d’Aix-en-Provence le matin, une ville pleine d’histoire et d’anecdotes ! Nous avons passé un week-end enrichissant et ensoleillé.

Marrakech, Maroc par Elena Schultz

Cet Halloween, je suis descendue d’un avion sur le sol chaud de Marrakech pour la première fois. Oubliant le vol chaotique de Ryanair, j’étais suprêmement contente de sentir le soleil sur ma peau. Avec Séverine, Andrew et Shiv, nous avons pris un taxi de l’aéroport à notre Airbnb – c’était déjà la nuit, et après avoir laissé nos affaires dans notre appartement temporaire, nous sommes allés commander une pizza dans la rue dans un bâtiment qui a servi aussi de refuge pour les chats dans la rue.

La vue de notre Airbnb

Le lendemain, je me suis réveillée au son des chevaux dans la rue en dessous de moi. Il faisait nuit quand nous sommes arrivés, alors quand j’ai ouvert les fenêtres, j’ai été étonnée de voir un paysage des bâtiments oranges et des commerçants qui vendaient le petit-déjeuner dans la rue. Nous nous sommes embarqués dans un tour de Marrakech ce matin, et mes yeux étaient presque trop pleins – nous avons vu des magasins, des mosquées, et la tombe de la royauté. Notre guide a parlé en plusieurs langues lors de notre visite, mais quand il a parlé en français, il a ajouté plus sur l’histoire de la ville.

La tombe du roi dans la vieille ville de Marrakech

Plus tard, nous avons visité les Jardins Majorelle et le Musée Yves Saint-Laurent. Les jardins en particulier étaient l’une de mes parties préférées du voyage – ils étaient luxuriants avec des cactus et entourés de bâtiments bleus. Un autre point formidable de notre voyage a été de trouver un spa qui a fait une sorte d’exfoliation marocaine appelée un hammam – ils frottent votre corps de la tête aux pieds avec un savon noir et lorsque je sortie je me suis sentie comme un bébé à nouveau !

Les Jardins Majorelle

Enfin, on est parti pour une excursion de deux jours dans le désert, la partie du voyage pour laquelle j’étais à la fois le plus inquiète et le plus excitée. Nous avons pris un bus dans les montagnes de l’Atlas avec un groupe d’une douzaine d’autres personnes du monde entier, nous sommes montés à dos de chameau dans un camping et nous avons mangé du tajine et du couscous à la belle étoile. Les hommes du village berbère voisin ont joué de la musique autour du feu de camp et nous avons dansé jusqu’à ce que nous soyons trop fatigués pour bouger. Quand nous sommes partis, nous nous sommes arrêtés à un musée berbère (où Shiv a acheté un tapis ! ) et j’ai passé le reste du long trajet en bus en regardant par la fenêtre les maisons dispersées à travers les montagnes.

C’était un beau voyage sur lequel je réfléchis toujours, et je suis vraiment reconnaissante d’avoir visité Marrakech et les montagnes du Maroc. J’ai hâte d’y retourner !

Par Elena Schultz – Vassar’19

Mon week-end à Bruxelles par Valérie Kerner

Écrit par Valérie Kerner

Bruxelles : la ville de l’union européen est une grande ville de la culture. Avant mon départ je ne savais pas si j’allais aimer Bruxelles ; mon entourage m’a dit que Bruges et Gent étaient de loin meilleures. Mais à ma grande surprise, Bruxelles dégage une énergie particulière … avec ses bâtiments et ses lieux qui sont très intéressants et que je recommande à tout le monde !

Le premier jour à Bruxelles était court. Je suis arrivée en train, à huit heures du soir. J’étais fatiguée et j’avais très faim. Alors, j’ai cherché en premier de quoi me nourrir. Je ne savais rien sur la ville et je n’avais étudié aucun plan, mais j’ai eu l’impression que tous les activités se trouvaient à droite de mon hôtel !

Alors, j’ai pris la direction à droite et j’ai trouvé une petite statue : le Manneken Pis ou le petit homme qui pisse (le petit homme qui pisse est une statue d’un petit homme qui pisse, très simplement).  J’ai immédiatement compris que ce petit homme représente un monument important dans la ville parce qu’il y avait autour beaucoup de touristes qui prenaient des photos. Le petit homme est très très petit et c’est facile de passer à côté sans le voir. Mais c’était bien à voir, parce que selon TripAdvisor et tous les site-web similaires, c’est la meilleure attraction à Bruxelles (je ne suis pas tout à fait d’accord, mais à chacun son avis).

Le petit homme qui pisse

Après avoir vu le petit homme qui pisse, j’étais un peu plus intriguée par Bruxelles. J’ai continué à marcher et c’était incroyable. Après quelques minutes, j’ai trouvé par hasard, la Grande Place — c’était juste à côté du petit homme qui pisse. J’avais vu des photos de la Grande Place, mais ce n’était rien relativement à la réalité — c’était incroyable ! Avec les lumières qui illuminaient les bâtiments pendant la nuit avec la lune et l’architecture magnifique, c’est stupéfiant. Il y’avait beaucoup monde là aussi et l’énergie était vibrante. C’était surréel !

La Grand-Place

Un petit peu après, j’ai marché encore et j’ai trouvé un petit restaurant italien et belge pour la nourriture. J’ai bu une bière blanche belge, elle était très bonne, une expérience typique de la Belgique.

Moi avec un Hoegaarden bière

Après avoir bu et mangé, je suis rentrée à l’hôtel et j’ai dormi- j’étais tellement fatigué.


Le deuxième jour, j’ai visité beaucoup de musées différents et j’ai BEAUCOUP marché ! Premièrement, je suis allée au musée Magritte. C’est dans le Kunstberg ou Mont des Arts, un lieu avec beaucoup de musées.

Le Mont des Arts

Le musée était intéressant, parce que Magritte était un artiste complexe. C’était aussi en rapport avec mon cours de l’art à Reid Hall. Mais je n’ai pas aimé pas les conservateurs du musée et la façon dont les peintures étaient disposées et accrochées : tous les tableaux ont un éclat et c’était difficile à voir sur les peintures. Il y a eu les problèmes avec les lumières et quelques salles étaient sales. Toutefois c’était intéressant.

Une peinture créée par Magritte

Puis, je suis allée au musée des instruments. C’est juste à côté du musée Magritte dans le mont d’arts et le bâtiment est très sympa.

Le musée des instruments

Il y a énormément d’instruments dans le musée et c’était intéressant pour moi de lire les descriptions des instruments en français, anglais et flamand car j’ai pu tout comprendre. C’était le seul musée avec des descriptions et il a mis en évidence que Bruxelles est une ville multiculturelle.

Un mot en allemand crée par Beethoven pour dire ” pianoforte”. Les descriptions sont en anglais, flamande, et français

J’ai aussi aimé les pianos.

Trois pianos vieux

 

Puis, j’ai beaucoup marché et je suis allée au parlement de l’UE. C’était un bâtiment très grand et un lieu intéressant — c’est le quartier moderne et européen : le contraste avec la ville vieux est remarquable.

 

Parlement de l’UE

Un bâtiment près de l’UE

Puis, je suis allée au parc cinquantenaire avec l’arc du triomphe de Bruxelles.

Moi dans le parc

Après, j’ai vu la grande cathédrale de Bruxelles. C’était magnifique, parce que la lumière pendant l’après-midi est parfaite.

La Cathédrale

Dans le même quartier près de la Cathédrale et la Grande Place, j’ai vu beaucoup des petits magasins et les galeries royales Saint-Hubert. Le lieu des galeries est très intéressant et joli. J’y suis retournée pendant la nuit parce que : c’est très joli et que c’était mieux de voir le bâtiment sans la foule 

La Grande-Place pendant la journée


Les galeries royales Saint-Hubert

Pendant la journée, j’ai vu beaucoup des magasins du chocolat, mais je n’aime pas le chocolat et je ne peux pas manger beaucoup du bonbons ou de chocolats à cause de mon allergie aux fruits à coq. j’ai vu des gens avec de très grandes gaufres et frites. Alors, j’ai mangé des frites et une très grande gaufre et c’était délicieux !

La Gaufre

Les Frites

Pour mon dernier jour, j’ai visité encore plus de musées notamment les autres musées royaux de Bruxelles. J’ai vu le Musée Oldmasters et j’ai vu des peintures très connues comme La Mort de Marat. Dommage que le musée ait eu des inondations car beaucoup de peintures n’étaient pas exposées, à part ça le musée est très sympa.

La Mort de Marat par Jacques-Louis David

J’ai aussi vu un petit parc très sympa et les mémoriaux des gens morts dans la première guerre mondiale. C’était plaisant de voir des lieux très différents à Bruxelles et aussi de découvrir l’histoire de la ville aussi.

Un petit parc

Mémoriaux aux gens blessés et morts pour la Belgique dans la première guerre mondiale

Alors, mon week-end à Bruxelles était un week-end d’histoire, d’art, de culture, mais aussi de modernité. C’était très bien de visiter un lieu avec beaucoup des cultures différentes, mélanger avec les langues différentes et les gens diverses, et un lieu avec la modernité mélanger avec les lieux très vieux et jolie. C’est un lieu très unique et bon pour un week-end.

 Par Valérie Kerner – Vassar’19

Belle et douce Provence

Du 20 au 22 janvier, nous étions à Aix-en-Provence accompagnés de Néna Kraguly, notre professeur d’histoire de l’art. Nous sommes partis sur les traces de Paul Cézanne et à la découverte de la région où notre directrice est née et a grandi. Au programme: visite d’un domaine où se mêlent art contemporain et vignobles, visite guidée d’une distillerie de lavande, dîner en ville, marché provençal, etc. Et bien entendu, temps libre pour profiter de la ville et de ses environs !!

Jour 1 !

13h : Arrivée à Le Puy Sainte Réparade, petit village où se trouve le domaine La Coste. Nous nous sommes promenés à travers collines, champs d’oliviers et vignes et nous avons découvert les œuvres d’art et installations contemporaines d’artistes tels que : Tadao Ando, Louise Bourgeois, Hiroshi Sugimoto,  grâce au précieux éclairage d’historienne de l’art de notre chère Néna !

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16h : Arrivée à Apt, petit village où se trouve la distillerie de lavande Les Agnels . La cinquième génération de la famille Agnel nous a fait partagé son quotidien en assistant à une distillation traditionnelle de lavande.

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Jour 2 !

Dans la matinée, balade au travers d’Aix et de ses marchés pour se rendre à l’Atelier Cézanne.

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Puis visite conférence animée par notre chère Néna de l’Atelier de Cézanne suivie d’un temps libre afin d’apprécier la douceur de vivre d’Aix-en-Provence et le bouillonnement de la trépidante voisine … Marseille.

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Jour 3 !

Dernier temps libre pour profiter d’Aix-en-Provence et de ses multiples trésors – musées, marchés, fontaines, madones nichées sur les façades des maisons, petites rues piétonnes…

  Puis retour à Paris! À bientôt Aix !