Un weekend à Bruxelles avec Seneca Straub

Écrit par Seneca Straub

Un weekend en février, Nam —un autre étudiant du VWPP— et moi sommes allés à Bruxelles. Nous avons pris Flixbus (bus) qui n’était pas cher, mais c’était un cauchemar sur la route du retour car nous sommes tombés en panne. Je recommande plutôt le train… En dehors de ça, notre séjour à Bruxelles était super ! Nous sommes descendus dans une auberge de jeunesse pas loin du centre-ville. Bruxelles n’est pas très grand est c’est facile d’explorer la ville à pied. Mon lieu préféré est la Grande Place, avec tous les bâtiments ornés d’or. J’ai aussi bien profité de la gastronomie belge. J’ai goûté la meilleure gaufre de ma vie ! La Belgique est également connue pour ses bières et ses chocolats et j’ai essayé les deux. Nam et moi, avons aussi beaucoup aimé les musées, dont les Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique où on a vu une exposition temporaire sur Dalí et Magritte.

Écrit par Seneca Straub — VWPP Spring 2020

La Défense : Le Manhattan Parisien

Nos étudiant·es partent à la découverte d’un quartier passionnant du Grand Paris : La Défense. A quelques minutes seulement des Champs Elysées, La Défense est le plus grand quartier d’affaire d’Europe et le temple du shopping ! Avec Alex, notre guide, nous entamons une visite guidée autour de l’architecture & de l’art contemporain. Au dédale des tours majestueuses, se niche les oeuvres de grands noms de l’art du XXe et du XXIe siècle : L’araignée rouge de Calder, les personnages de Miró, le pouce de César… Nous terminons notre visite sous la Grande Arche de La Défense, un lieu gargantuesque, bénéficiant d’une vue exceptionnelle de 110 mètres de haut. 

Nous déjeunons ensuite dans une crêperie, avant de nous en aller découvrir un autre chef d’oeuvre architectural : La Fondation Louis Vuitton. Nous y observons une formidable exposition sur Charlotte Perriand et y déambulerons le reste de l’après-midi.

VWPP Spring 2020

Le 18e arrondissement hors des sentiers battus

Jacky, notre guide pour la journée, nous a permis de (re)découvrir Paris autrement grâce à une visite guidée axée autour de la Solidarité. Nous y découvrons notamment la vie associative d’un quartier multiethnique : la Goutte d’Or. Au cours de cette visite, nos étudiant·es sont allés à la rencontre de différentes associations et des habitant·es du quartier, de ceux et celles qui forgent chaque jour l’âme de la Goutte d’or. Nous déjeunons ensemble au Collectif 4C (Collectif Café Culture Cuisine) – Quartier Libre, un lieu de convivialité et de solidarité, café associatif, culturel, et cuisine du quartier : un espace partagé et à partager.

Comme Jacky est lui-même jardiner et activiste, il nous réserve une petite surprise, direction les jardins secrets du 18e : un bol d’air frais bien mérité ! Nous découvrons la petite ferme de le Goutte d’Or et ses animaux, une friche, des potagers, des jardins solidaires & partagés, des passages cachés et des adresses insolites (comme le bar à pétanque Les Mah Boules, la Brasserie de la Goutte d’Or etc.)

VWPP Spring 2020

Osez le féminisme !

Julie, notre guide de chez Feminists In the City nous fait découvrir l’histoire du quartier de la Butte-aux-Cailles à travers le Street Art & le Féminisme. Le 13e arrondissement est un véritable musée à ciel ouvert intitulé “Boulevard Paris 13” (conçu par la galerie Itinérance, avec la Mairie du 13e). Quelques-uns des artistes les plus renommés dans ce domaine y ont laissé leur empreinte ! Lors de notre balade dans les petites rues bucoliques de la Butte-aux-Cailles, nous découvrons des spots incontournables où s’affirme le Paris pluriel et des lieux où s’immiscent les revendications féministes. Retour en images sur une visite guidée qui a su éveiller un peu plus nos consciences.

VWPP Spring 2020

À Dijon il n’y a pas que de la moutarde !

Samedi 16 novembre, échappée dijonnaise pour les étudiant·es du VWPP. Malgré le froid et un temps pluvieux, nous avons sillonné la ville pour découvrir toutes les richesses dont elle recèle. Du Palais des ducs de Bourgogne, au Musée des Beaux Arts, avec ses majestueux tombeaux des ducs, nous en avons pris plein les yeux! Nous n’avons pas été en reste côté gastronomie, avec une visite des halles centrales de Dijon et un déjeuner au restaurant les treize Lucioles.

Au menu ? Un poulet Gaston Gérard à la moutarde et au comté (plat traditionnel des cuisines dijonnaise et bourguignonne). Pour les végétarien·nes, un risotto au vin rouge et ses légumes d’automnes. Et une poire pochée au vin rouge et pain d’épices, en guise de dessert.

Cerise sur le gâteau avec deux dégustations. L’une de moutarde, chez Edmond Fallot – dernière grande moutarderie familiale de Bourgogne. Et l’autre de pain d’épice et de nonnettes, chez Mulot & PetitJean.

Le saviez-vous ? Les célèbres nonnettes Mulot & Petitjean sont fabriquées de manière traditionnelle à Dijon selon une recette authentique. Au Moyen-Âge, les nonnes confectionnaient ces gâteaux dans leur couvent.

VWPP Fall 2019

Une aventure médiévale … direction Rouen !

Découverte de la jolie ville de Rouen, capitale de la Normandie, par les étudiant·es du VWPP.

Au programme ? Un peu d’histoire avec une visite guidée des hauts-lieux historiques de la ville (bûcher Jeanne d’Arc) et de la Cathédrale Notre-Dame de Rouen. Balades et découverte de l’architecture Rouennaise (style gothique, maisons à colombages), mais aussi, initiation à la gastronomie locale puisque nous avons déjeuné au restaurant gastronomique de la Couronne, véritable institution et la plus vieille auberge de France en service depuis 1345 !

VWPP Fall 2019

Marrakech, Maroc par Elena Schultz

Cet Halloween, je suis descendue d’un avion sur le sol chaud de Marrakech pour la première fois. Oubliant le vol chaotique de Ryanair, j’étais suprêmement contente de sentir le soleil sur ma peau. Avec Séverine, Andrew et Shiv, nous avons pris un taxi de l’aéroport à notre Airbnb – c’était déjà la nuit, et après avoir laissé nos affaires dans notre appartement temporaire, nous sommes allés commander une pizza dans la rue dans un bâtiment qui a servi aussi de refuge pour les chats dans la rue.

La vue de notre Airbnb

Le lendemain, je me suis réveillée au son des chevaux dans la rue en dessous de moi. Il faisait nuit quand nous sommes arrivés, alors quand j’ai ouvert les fenêtres, j’ai été étonnée de voir un paysage des bâtiments oranges et des commerçants qui vendaient le petit-déjeuner dans la rue. Nous nous sommes embarqués dans un tour de Marrakech ce matin, et mes yeux étaient presque trop pleins – nous avons vu des magasins, des mosquées, et la tombe de la royauté. Notre guide a parlé en plusieurs langues lors de notre visite, mais quand il a parlé en français, il a ajouté plus sur l’histoire de la ville.

La tombe du roi dans la vieille ville de Marrakech

Plus tard, nous avons visité les Jardins Majorelle et le Musée Yves Saint-Laurent. Les jardins en particulier étaient l’une de mes parties préférées du voyage – ils étaient luxuriants avec des cactus et entourés de bâtiments bleus. Un autre point formidable de notre voyage a été de trouver un spa qui a fait une sorte d’exfoliation marocaine appelée un hammam – ils frottent votre corps de la tête aux pieds avec un savon noir et lorsque je sortie je me suis sentie comme un bébé à nouveau !

Les Jardins Majorelle

Enfin, on est parti pour une excursion de deux jours dans le désert, la partie du voyage pour laquelle j’étais à la fois le plus inquiète et le plus excitée. Nous avons pris un bus dans les montagnes de l’Atlas avec un groupe d’une douzaine d’autres personnes du monde entier, nous sommes montés à dos de chameau dans un camping et nous avons mangé du tajine et du couscous à la belle étoile. Les hommes du village berbère voisin ont joué de la musique autour du feu de camp et nous avons dansé jusqu’à ce que nous soyons trop fatigués pour bouger. Quand nous sommes partis, nous nous sommes arrêtés à un musée berbère (où Shiv a acheté un tapis ! ) et j’ai passé le reste du long trajet en bus en regardant par la fenêtre les maisons dispersées à travers les montagnes.

C’était un beau voyage sur lequel je réfléchis toujours, et je suis vraiment reconnaissante d’avoir visité Marrakech et les montagnes du Maroc. J’ai hâte d’y retourner !

Par Elena Schultz – Vassar’19

Mon week-end à Bruxelles par Valérie Kerner

Écrit par Valérie Kerner

Bruxelles : la ville de l’union européen est une grande ville de la culture. Avant mon départ je ne savais pas si j’allais aimer Bruxelles ; mon entourage m’a dit que Bruges et Gent étaient de loin meilleures. Mais à ma grande surprise, Bruxelles dégage une énergie particulière … avec ses bâtiments et ses lieux qui sont très intéressants et que je recommande à tout le monde !

Le premier jour à Bruxelles était court. Je suis arrivée en train, à huit heures du soir. J’étais fatiguée et j’avais très faim. Alors, j’ai cherché en premier de quoi me nourrir. Je ne savais rien sur la ville et je n’avais étudié aucun plan, mais j’ai eu l’impression que tous les activités se trouvaient à droite de mon hôtel !

Alors, j’ai pris la direction à droite et j’ai trouvé une petite statue : le Manneken Pis ou le petit homme qui pisse (le petit homme qui pisse est une statue d’un petit homme qui pisse, très simplement).  J’ai immédiatement compris que ce petit homme représente un monument important dans la ville parce qu’il y avait autour beaucoup de touristes qui prenaient des photos. Le petit homme est très très petit et c’est facile de passer à côté sans le voir. Mais c’était bien à voir, parce que selon TripAdvisor et tous les site-web similaires, c’est la meilleure attraction à Bruxelles (je ne suis pas tout à fait d’accord, mais à chacun son avis).

Le petit homme qui pisse

Après avoir vu le petit homme qui pisse, j’étais un peu plus intriguée par Bruxelles. J’ai continué à marcher et c’était incroyable. Après quelques minutes, j’ai trouvé par hasard, la Grande Place — c’était juste à côté du petit homme qui pisse. J’avais vu des photos de la Grande Place, mais ce n’était rien relativement à la réalité — c’était incroyable ! Avec les lumières qui illuminaient les bâtiments pendant la nuit avec la lune et l’architecture magnifique, c’est stupéfiant. Il y’avait beaucoup monde là aussi et l’énergie était vibrante. C’était surréel !

La Grand-Place

Un petit peu après, j’ai marché encore et j’ai trouvé un petit restaurant italien et belge pour la nourriture. J’ai bu une bière blanche belge, elle était très bonne, une expérience typique de la Belgique.

Moi avec un Hoegaarden bière

Après avoir bu et mangé, je suis rentrée à l’hôtel et j’ai dormi- j’étais tellement fatigué.


Le deuxième jour, j’ai visité beaucoup de musées différents et j’ai BEAUCOUP marché ! Premièrement, je suis allée au musée Magritte. C’est dans le Kunstberg ou Mont des Arts, un lieu avec beaucoup de musées.

Le Mont des Arts

Le musée était intéressant, parce que Magritte était un artiste complexe. C’était aussi en rapport avec mon cours de l’art à Reid Hall. Mais je n’ai pas aimé pas les conservateurs du musée et la façon dont les peintures étaient disposées et accrochées : tous les tableaux ont un éclat et c’était difficile à voir sur les peintures. Il y a eu les problèmes avec les lumières et quelques salles étaient sales. Toutefois c’était intéressant.

Une peinture créée par Magritte

Puis, je suis allée au musée des instruments. C’est juste à côté du musée Magritte dans le mont d’arts et le bâtiment est très sympa.

Le musée des instruments

Il y a énormément d’instruments dans le musée et c’était intéressant pour moi de lire les descriptions des instruments en français, anglais et flamand car j’ai pu tout comprendre. C’était le seul musée avec des descriptions et il a mis en évidence que Bruxelles est une ville multiculturelle.

Un mot en allemand crée par Beethoven pour dire ” pianoforte”. Les descriptions sont en anglais, flamande, et français

J’ai aussi aimé les pianos.

Trois pianos vieux

 

Puis, j’ai beaucoup marché et je suis allée au parlement de l’UE. C’était un bâtiment très grand et un lieu intéressant — c’est le quartier moderne et européen : le contraste avec la ville vieux est remarquable.

 

Parlement de l’UE

Un bâtiment près de l’UE

Puis, je suis allée au parc cinquantenaire avec l’arc du triomphe de Bruxelles.

Moi dans le parc

Après, j’ai vu la grande cathédrale de Bruxelles. C’était magnifique, parce que la lumière pendant l’après-midi est parfaite.

La Cathédrale

Dans le même quartier près de la Cathédrale et la Grande Place, j’ai vu beaucoup des petits magasins et les galeries royales Saint-Hubert. Le lieu des galeries est très intéressant et joli. J’y suis retournée pendant la nuit parce que : c’est très joli et que c’était mieux de voir le bâtiment sans la foule 

La Grande-Place pendant la journée


Les galeries royales Saint-Hubert

Pendant la journée, j’ai vu beaucoup des magasins du chocolat, mais je n’aime pas le chocolat et je ne peux pas manger beaucoup du bonbons ou de chocolats à cause de mon allergie aux fruits à coq. j’ai vu des gens avec de très grandes gaufres et frites. Alors, j’ai mangé des frites et une très grande gaufre et c’était délicieux !

La Gaufre

Les Frites

Pour mon dernier jour, j’ai visité encore plus de musées notamment les autres musées royaux de Bruxelles. J’ai vu le Musée Oldmasters et j’ai vu des peintures très connues comme La Mort de Marat. Dommage que le musée ait eu des inondations car beaucoup de peintures n’étaient pas exposées, à part ça le musée est très sympa.

La Mort de Marat par Jacques-Louis David

J’ai aussi vu un petit parc très sympa et les mémoriaux des gens morts dans la première guerre mondiale. C’était plaisant de voir des lieux très différents à Bruxelles et aussi de découvrir l’histoire de la ville aussi.

Un petit parc

Mémoriaux aux gens blessés et morts pour la Belgique dans la première guerre mondiale

Alors, mon week-end à Bruxelles était un week-end d’histoire, d’art, de culture, mais aussi de modernité. C’était très bien de visiter un lieu avec beaucoup des cultures différentes, mélanger avec les langues différentes et les gens diverses, et un lieu avec la modernité mélanger avec les lieux très vieux et jolie. C’est un lieu très unique et bon pour un week-end.

 Par Valérie Kerner – Vassar’19