La recherche d’emploi en France

Trouver un emploi ou ne pas trouver un emploi ? Telle est la question. Pour trouver un emploi ici à Paris, il faut avoir de bons esprits, de la persévérance, et de la détermination. Mais c’est difficile pour diviser le temps nécessaire à étudier, sortir, et trouver un travail. Je vais raconter mon expérience personnelle avec cette situation.

Alors, pour mettre en scène, il y a plein des postes ici mais personne n’embauche. Vous pouvez être une caissière, une stagiaire, ou un babysitteur. Les possibilités sont très nombreuses. J’ai utilisé plusieurs sites pour trouver et postuler pour des postes. Par exemple, ProfilCulture, HelloWork, Welcome to the Jungle, Momji, Babylangues et même Craigslist. Pour la plupart, j’avais rédigé une lettre de motivation et un CV avant que j’ai postulé en ligne. Mais, pour d’autres postes, comme ceux de caissières ou de serveurs dans un restaurant, c’est normal de présenter un CV directement sur place. Cela m’a vraiment étonné et cela m’a donné des flashbacks à 1990s. Très old-fashion. La seule condition que j’avais était de ne pas faire du babysitting ou du tutorat. Moi, je n’aime pas les enfants et j’imagine que s’occuper des enfants de quelqu’un d’autre va être un cauchemar. Au final, j’ai abandonné cette contrainte, mais c’était trop tard. Ils ont besoin de 4-6 mois au minimum. De plus, certains postes demandent un extrait de casier judiciaire et je n’avais pas le temps de faire cette procédure.

Le programme offre aussi des stages, non payés, dans des disciplines différentes, mais je n’ai pas eu la chance d’en décrocher un. Ils changent chaque année mais il y a des postes dans des écoles, galeries et des petites entreprises.

Pour résumer, la recherche était un parcours avec des hauts et des bas. J’aimerais bien qu’il y ait des rendez-vous (obligatoire ou facultatif) où les personnes dans le VWPP apprennent les possibilités de travailler avant partir en France. Je crois que cela aiderait les gens à commencer la recherche bien en avance.

Par Tremaine Dawson, VWPP 2024

Le meilleur chocolat chaud à Paris (à mon avis)

Depuis mon enfance, j’ai toujours aimé le chocolat chaud. Je n’aime pas le café et le thé n’est pas intéressant alors ma boisson préférée est toujours le chocolat chaud. Quand je suis arrivée à Paris, j’ai pensé que tous les chocolats chauds seraient incroyables parce que c’est Paris ! Mais quand le programme nous a emmenés manger des crêpes et que j’ai goûté le chocolat chaud là-bas, j’ai réalisé que ce n’est pas le cas. J’étais très déçue ! Et je suis partie pour trouver le meilleur chocolat chaud de Paris. Alors, voici mes notes pour les chocolats chauds que j’ai goûté à Paris :

  1. Crêperie du Manoir Breton – 2.5/5
    1. très bonne présentation mais trop épais, avait un arrière goût très bizarre, comme une sorte d’épice ??

  1. Le Petit Bouillon Vavin – 4/5
    1. Belle présentation ! Beaucoup de cacao alors il a un goût de chocolat noir, c’est savoureux !

  1. Café du Thone – 1/5
    1. Terrible. Aqueux et faible goût de chocolat.
  2. Land & Monkeys – 3.5/5
    1. Odeur étrange de noisette, goût étrange de noisette. Étonnamment bon ??? C’est du lait d’avoine, c’est pour ça que ça avait un goût bizarre.
  3. L’eglantine – 4.5/5
    1. Ça sent si bon, présentation pas géniale, DÉLICIEUX, saveur agréable et riche mais pas trop épaisse… Il me manque quelque chose…
  4. Charivari – 5/5
    1. Le meilleur chocolat chaud à mon avis. Vraiment, vraiment délicieux. Il a l’odeur d’un moelleux au chocolat, il est présenté dans un pichet qui vous donne environ deux tasses entières de chocolat chaud (pour le prix d’une).

Par Rhys Sequeira, VWPP Printemps 2024

La découverte de Bordeaux… et de son terroir !

J’ai découvert un nouvel intérêt à Bordeaux. Au Sud-Ouest de la France, la ville est située près de la mer, sur la Garonne. Les gars et moi avons visité Bordeaux pour nos vacances de février. Au début, c’était un vrai voyage français : nos trains ont été annulés à cause d’une grève, mais heureusement nous avons trouvé un autre train.
À Bordeaux, nous étions très occupés. D’abord, pour le premier jour, nous avons visité le quartier de la rue Sainte-Catherine, un quartier sympa dans lequel on peut surtout marcher. Nous y avons goûté des cannelés sur les recommandations des français, mais nous ne les avons pas aimés, en plus, c’était trop cher. Ensuite, nous avons passé une soirée esthétique, commençant avec un resto sympa dans le quartier de la Grosse Cloche, qui ressemble au Chemin de Traverse d’ Harry Potter, suivi d’un bar à vin où j’ai découvert mon intérêt pour le vin, et quel meilleur endroit que Bordeaux pour le découvrir ? À la fin de la soirée, nous avons fait une promenade au bord de la Garonne et sur le pont de Pierre, pour regarder la vue de Bordeaux pendant la nuit.


Le deuxième jour, nous avons vu les musées et les spectacles à Bordeaux, commençant avec le musée le plus connu : La Cité du Vin. C’était sympa, il y avait une visite audio-guidée, et nous avons appris toutes les facettes du vin, de la récolte jusqu’aux emballages. De plus, le musée a offert un verre du vin au choix après la visite de l’exposition. Après les autres musées et spectacles, nous sommes rentrés à Paris.
Vraiment ça c’est une expérience nécessaire pour les gens qui adorent le vin (moi), une ville avec une culture du vin très riche, c’est un voyage inoubliable.

Par Michael Zheng, VWPP Printemps 2024

Fréquenter les cinémas parisiens

Pendant mon séjour à Paris, je vais au cinéma tous les week-ends. Les tarifs étudiants sont beaucoup moins chers qu’aux États-Unis et j’aime découvrir de nouveaux quartiers en allant dans différents cinémas. L’une de mes visites préférées a été la Cinémathèque dans le 12e arrondissement, pas très loin de chez moi. J’ai vu une exposition sur Agnès Varda, la réalisatrice préférée, et une exposition sur les frères Lumière. J’ai aussi visité un cinéma près de Reid Hall, le Pathé Parnasse. J’ai regardé Kiki la Petite Sorcière, l’un de mes films préférés de mon enfance.

C’était agréable de regarder un film que je connaissais très bien, parce que cela m’a aidé à comprendre la traduction française et à remarquer les différences entre les deux langues. En général, je pense que je préfère les cinémas français aux cinémas américains. Je trouve les cinémas parisiens beaucoup plus cozy et classiques. J’aime le fait que beaucoup de cinémas à Paris sont petits et mieux intégrés dans les quartiers qui les entourent. C’était agréable de voir des gens et des familles de tous âges passer l’après-midi ensemble. Je pars en Allemagne pour mes vacances d’avril et je suis curieuse de savoir si la culture cinématographique est similaire ou différente. La semaine dernière, j’ai appelé ma tante, qui habite en Belgique, et elle m’a dit qu’à Bruxelles, l’une des activités préférées de ses amis était d’aller au cinéma ensemble. Je pense que c’est la même chose aux États-Unis, mais je pense aussi que le cinéma français a une qualité particulière et je me sens chanceuse d’avoir l’opportunité d’aller au cinéma pendant que je suis en France.

Par Avery Patterson, VWPP Printemps 2024

Un stage dans la mode

Lorsque j’ai commencé à envisager de faire partie du programme VWPP, j’étais intéressé par l’opportunité de comprendre la culture et les gens français à travers le travail. Je savais que j’apprendrais beaucoup sur ce que j’avais étudié en étant à Reid Hall, mais je voulais m’immerger dans la société française et trouver un stage. Ayant suivi les cours nécessaires pour ma spécialisation en économie, j’ai pu rester à Paris pendant toute l’année universitaire. J’ai commencé à envoyer mon CV partout où je trouvais des offres intéressantes : agences, galeries et entreprises dans tous les coins de Paris. J’ai eu beaucoup de chance qu’une des agences me contacte. Ainsi, durant le premier semestre, j’ai eu l’incroyable opportunité de faire un stage ici à Paris à La Mode en Images, une agence de direction artistique et de production d’événements de luxe. En tant que stagiaire travaillant selon mon calendrier académique, il était difficile au début de participer à la planification et à la structuration des grands projets sur lesquels je rêvais de travailler depuis que j’étais jeune. Travailler avec la contrainte des cours était difficile, mais j’ai réussi à obtenir une invitation à mon premier événement professionnel au mois de septembre : une soirée de lancement YSL. Au début, je ne pouvais pas croire que j’allais y assister, mais je suis rapidement passé en mode concentré car je devais m’assurer que tout se passait bien. Très vite, j’ai réalisé que la production événementielle n’était pas aussi belle que je l’avais imaginé. Je suis arrivé le matin pour aider à l’installation et m’assurer que toutes les équipes étaient prêtes et parées pour l’événement et tout au long de la soirée, je devais m’assurer que si quelque chose n’allait pas, je le réparerais immédiatement. J’ai beaucoup appris grâce à cette première épreuve, et même si je courais partout et transportait des caisses de champagne à un moment donné, j’ai passé le meilleur moment de ma vie.

Cette soirée m’a donné d’autres opportunités. Quelques semaines avant l’une des semaines les plus importantes du calendrier de la mode, ma cheffe m’a dit que j’allais participer à la production d’un défilé pour Maison Margiela. J’étais très très très content. C’est une marque que je connais et que j’aime, dont les vêtements racontent une histoire. Une fois de plus, le travail a commencé. Je ne pense pas avoir jamais vu autant de Paris qu’au cours des deux semaines précédant le spectacle. J’avais parcouru tous les quartiers à la recherche des objets nécessaires pour le défilé. Une fois que l’installation sur place a commencé, je transportais des boîtes et des tables et je faisais ce que je pouvais pour aider. Même si j’étais épuisé le jour du spectacle, voir un projet sur lequel je travaillais depuis des semaines devenir réalité était un sentiment que je n’avais jamais ressenti auparavant. Lorsque les mannequins sont sortis et que les spectateurs ont vu la collection, j’ai ressenti un sentiment d’épanouissement que je n’avais jamais ressenti auparavant, sauf lorsque je marque un but sur un terrain de football. C’était vraiment un moment magique. Bien que cette expérience et cette opportunité incroyables touchent à leur fin, je ne peux m’empêcher d’être heureux et reconnaissant d’avoir décidé de rester toute l’année, car ces expériences m’ont ouvert les yeux sur une part de moi nouvelle, artistique, que je ne savais pas qu’elle existait.

Par Antonio Ferraiolo Costa, VWPP Printemps 2024

Découvrir le cinéma à Paris

Quand je suis arrivée à Paris, je savais que je voulais explorer le cinéma en France. Ma spécialisation à Vassar est le cinéma, donc j’ai été très ravie d’apprendre plus d’informations sur la naissance du cinéma à Paris. Jusqu’à présent, être à Paris m’a donné plus d’opportunités et d’informations que j’ai pu imaginer. Pendant ma deuxième semaine ici, durant mon cours de cinéma, nous sommes allés à La Cinémathèque Française, où nous avons appris beaucoup sur les frères Lumières et Georges Méliès, et sur l’importance des deux dans l’explosion du cinéma en France. C’était incroyable de voir les premières personnes qui ont contribué à l’art du film. En plus, après notre visite, j’ai pu explorer le musée par moi-même. Ce mois-ci, la cinémathèque à une exposition sur Agnès Varda, qui est ma réalisatrice préférée. J’ai vu beaucoup de vidéos et de documents de Varda, et j’ai appris beaucoup sur elle.


En outre, être à Paris m’a inspiré à regarder plus de films français pendant mon temps libre. Cette semaine, j’ai vu les films Le Rayon Vert, Jane B. par Agnès V, et Belle de Jour. L’expérience de voir des films français en France a beaucoup amélioré mon français et j’ai hâte de voir tout le français que je pourrai comprendre après seulement un mois ici !
Enfin, mon tutorat a été très utile pour m’exposer à beaucoup de films français que je n’aurais pas connu autrement. Ma tutrice adore le cinéma aussi, donc nous pouvons parler de nos films préférés et elle m’a fait beaucoup de recommandations ! J’adore que ma tutrice partage des intérêts similaires aux miens ; c’est très amusant d’en discuter avec elle. J’ai hâte de vivre les prochains mois !

Par Etta Fontenot, VWPP Printemps 2024

 

Histoires cachées dans les cimetières de Paris

Depuis mon arrivée à Paris, j’ai eu le privilège de visiter de nombreux endroits qui donnent à cette ville un caractère extraordinaire. Avec mon passe Navigo en main, je me sens vraiment autorisée à explorer tout ce que je désire. Cependant, de toutes ces expériences, l’une de mes préférées a été la visite des cimetières de la ville.
Ma première visite a été le cimetière du Montparnasse, qui se trouve au 3 boulevard Edgar Quinet, 75014 Paris. Cet endroit contient les tombes de personnalités célèbres comme Simone de Beauvoir, Jean-Paul Sartre, Charles Baudelaire, Agnès Varda, Jacques Demy, Jane Birkin et Serge Gainsbourg. Bien que la visite d’un cimetière semble étrange, j’ai senti une sorte de magie en explorant ces lieux chargés d’histoire. C’était une expérience unique que je n’avais jamais connue avant.
Plus tard, j’ai également eu l’occasion de visiter le cimetière du Père-Lachaise, où sont enterrées de nombreuses autres personnalités. J’ai découvert la tombe d’une de mes actrices préférées, Anna Karina, mais aussi celles d’Édith Piaf et de Jim Morrison. Une scène m’a particulièrement marqué : en me rendant sur la tombe d’Édith Piaf, j’ai remarqué que quelqu’un pleurait à côté.


Pour moi ces visites ont été une source d’inspiration extraordinaire. Elles m’ont permis de plonger dans l’histoire et le patrimoine culturel de Paris d’une manière profonde et émouvante. Chacune de ces tombes représente une histoire unique et elles me rappellent l’importance de la mémoire et de la possibilité de laisser un héritage durable.

Par Hannah Beinstein, VWPP Printemps 2024

Le rayon vert

Le dernier rayon du soleil couchant, et l’éclair vert lorsque le soleil disparaît, vous aide à savoir ce que vous ressentez vraiment—citation de l’auteur Jules Verne et, plus tard, repris par le réalisateur Eric Rohmer. C’est le rayon vert. Après j’ai regardé Le Rayon Vert d’Eric Rohmer, c’est devenu mon film préféré.

J’étais assise à l’extérieur de Usdan par une journée ensoleillée. Le fin du semestre approchait et mes amies et moi nous souvenions les mois précédents et tout ce que nous attendions avec impatience pour notre prochain semestre à l’étranger. Je n’étais jamais allée à Paris auparavant ; je ne savais pas ce que je voulais faire là-bas. Mon bon ami, Soli, m’a suggéré d’aller au Cimetière Montparnasse. Je n’en avais jamais entendu parler. Il a parlé de tous les artistes et les écrivains qui y ont été enterrés. Quand il m’a dit que Eric Rohmer y a été enterré, j’ai su que je devais y aller.

Au cours de ma première semaine de séjour à Paris, je suis allé au cimetière. La première personne que je devais trouver était Rohmer. Je me suis donné beaucoup de temps, mais je ne l’ai pas trouvé. J’ai cherché pendant des heures, mais sans succès. Après mon cours, j’ai parlé de ma mission à mes amis. Nous sommes retournés au cimetière pour trouver la tombe. Avec des amis, je l’ai trouvé rapidement. Je me suis tenue devant sa tombe couverte de fleurs et de cadeaux, et c’était comme si je voyais le rayon vert.

 

Par Daniela Stahle, VWPP Printemps 2024

Le Musée d’Orsay selon Amelia

Bonjour tout le monde ! Je vais vous parler d’un de mes endroits préférés à Paris : le Musée d’Orsay. J’y suis récemment allée avec un de mes cours à Reid Hall et j’ai décidé d’y retourner cette semaine. C’est un endroit super parce que les billets sont gratuits avec ma carte d’étudiante de Reid Hall et parce qu’on peut y voir de l’art de plusieurs époques et artistes. De plus, il n’est pas loin de Reid Hall— quinze minutes sur la ligne 12 du métro. Pour mon cours d’histoire de l’art, on a visité des pièces du premier étage pour voir des peintures « académiques » et en discuter. C’était super intéressant pour moi parce que je n’ai jamais étudié l’histoire de l’art avant de venir à Paris. On a vu Le Tepidarium, “salle où les femmes de Pompéi venaient se reposer et se sécher en sortant du bain” par Théodore Chassériau, que je trouve très intéressant. C’est un magnifique tableau qui montre les femmes très en détail. Après mon cours, j’ai visité le deuxième étage pour voir les œuvres de Bonnard, y compris Le Chat blanc (une peinture que j’aime bien). Monet est un de mes artistes préférés, alors j’étais hyper contente de visiter aussi le cinquième étage, où se trouve plusieurs de ses peintures. Mon œuvre préférée de Monet dans ce musée est La Pie ; c’est une image d’un village sous la neige. Le musée est assez grand alors j’ai passé plusieurs heures là-bas et j’ai l’intention d’y retourner souvent.

Par Amelia Thornton, VWPP Printemps 2024

Un Guide de quelques musées à Paris


J’aime bien les musées, surtout les musées d’art, alors j’essaye de profiter d’environ 200 musées à Paris. La plupart des musées à Paris sont gratuits pour les étudiant.e.s, surtout si vous êtes un.e étudiant.e de l’histoire de l’art, mais si vous devez payer pour certains musées vous pouvez être remboursé par VWPP. Voici le récit des musées que j’ai visité jusqu’à présent pendant mon semestre à Paris.


Musée du Louvre
L’un des musées les plus iconiques à Paris, il a une collection énorme d’art historique et contemporain. La partie sur l’art et les artéfacts égyptiens est particulièrement grande, mais il y a une sélection vaste de peintures, tapisseries, sculptures et céramiques de toutes les époques. J’aime bien l’œuvre d’Anselm Kiefer qui inclut une peinture sur l’un des murs du musée et deux sculptures dans des alcôves.


Musée des arts décoratifs
Ce musée a une petite collection, mais il y a des expositions temporaires qui sont intéressantes : j’ai vu l’exposition d’Iris van Herpen qui est très immersive et qui inclut de la mode, des sculptures, de la musique et des peintures. Il y a aussi beaucoup de bijoux et d’objets décoratifs comme les choses d’architecture d’intérieur.


Centre Pompidou
Il y a plusieurs étages de galeries avec des collections intéressantes : du réalisme, de l’art abstrait et beaucoup de grandes sculptures et autres œuvres interactives dans lesquelles vous pouvez entrer.


Palais Galliera
C’est un musée de la mode mais je trouve qu’il a une très petite collection ; c’est seulement gratuit pour les étudiant.e.s de l’histoire de l’art alors si vous devez payer €10 ce ne valait pas la peine à mon avis. La collection de la mode à l’exposition de van Herpen au Musée des arts décoratifs est beaucoup mieux.

Par Sara Menz, VWPP Printemps 2024