Leçons apprises d’un voyage à Nice

Avec mon voyage à Nice, j’ai appris beaucoup de choses qui peuvent être très utiles pour planifier les voyages dans l’avenir. Quelques conseils qui sont écrits ci-dessous relèvent du sens commun, mais c’est encore utile d’avoir une liste de vérification à voir avant tes voyages !  

  1. On ne doit jamais prendre un vol d’EasyJet sans prendre en compte le fait qu’il y a une grande chance d’arriver en retard à destination. Mon vol était en retard de trois heures, et je suis arrivée à Nice à 1h du matin.  Mon hôtel était fermé, donc j’ai attendu l’ouverture de mon hôtel jusqu’à 7h du matin.  Si on est dans cette situation, le mieux est de rester dans l’aéroport.
  2. On doit toujours prendre les choses qui sont nécessaires pour survivre (un peu de nourriture, un chargeur portable et une bouteille d’eau) au cas où le pire arrive. Nous avons eu besoin de toutes ces choses pendant que nous attendions  l’ouverture de notre hôtel.
  3. On ne peut pas gagner une grande réduction dans le prix d’un hôtel avec plusieurs amis. Ce n’est pas deux pour le prix d’un. Les hôtels ont besoin de savoir combien de gens seront dans ta chambre, et ils vont augmenter le prix par personne qui reste là. 
  4. On doit toujours acheter les billets d’avion ensemble, au même moment : Les billets qui restent vont augmenter de prix quand un billet est vendu, donc on peut perdre 20 euros ou plus si on achète les billets séparément de ses amis. 

J’espère que tu profites de ton séjour en France, que tu profites vraiment de la chance d’explorer l’Europe, et le plus important, que tu ne fais pas les mêmes erreurs que moi !

Par Zoe Thompson, VWPP Automne 2024

 

Deux jours ensoleillés à Arles

Ces vacances de la Toussaint, j’ai eu l’immense plaisir de passer deux jours ensoleillés à Arles, une petite ville dans le Sud de la France. C’est un voyage dont l’idée était possiblement semée dans mon esprit avant que je n’arrive en France ; j’ai toujours été fasciné par une affiche accrochée dans ma chambre en Virginie qui est une annonce pour une exposition intitulée “Van Gogh in Arles” au Met à New York. Donc, cette connexion se faisant dans ma tête, j’ai décidé d’organiser un court séjour dans le Sud.
Une fois arrivé en ville, une série de ruines et vestiges romains très bien conservés et connectés à l’identité de la ville m’ont accueilli. Pendant mon séjour, j’ai visité les Alyscamps (ancienne nécropole, dont Van Gogh a fait une peinture célèbre), les Thermes de Constantin, l’obélisque de la place de la République, l’amphithéâtre, le théâtre antique et les cryptoportiques.
Toutes ces destinations étaient remplies d’histoire et chacune m’a donné un autre regard sur cette ville qui s’appela un temps Arelatis. Grâce à ma visite aux Thermes de Constantin et à l’obélisque, j’ai appris comment cet ancien peuplement gaulois devint le trésor de l’empereur Constantin, littéralement et figurativement – il adorait la ville et il fit déménager l’un des octrois romains à Arelatis.

Amphithéâtre d'Arles
D’autres fascinantes trames historiques sont apparues pendant ma visite. En passant par l’amphithéâtre, par exemple, j’ai appris qu’il fut, pendant le Moyen Âge, l’entièreté de la ville d’Arles ; les résidents profitèrent de la fortification. De plus, le Museon Arlaten retrace l’histoire de cette ville de l’époque romaine jusqu’au présent avec des expositions remarquablement organisées.
J’aimerais remercier Professeure Crippa du VWPP – elle m’a généreusement donné une longue liste de lieux incontournables avant que je ne me lance dans ce voyage. Pendant mes explorations de la ville, je suis passé par une boutique très chic appelée Moustique où j’ai acheté un sac Arlésien et j’ai mangé le meilleur tiramisu de ma vie chez El Paseo, un restaurant de tapas vers la place du Forum !
Globalement, Arles m’a étonné et je la recommande fortement comme destination. J’y ai ressenti une merveilleuse énergie émergeant de la dissonance entre les vestiges romains omniprésents et les coins modernes.
La survie de ces vestiges romains, échos d’une vie et d’une société passées, m’a fait réfléchir à notre propre culture, sur ce que nous laisserons derrière nous comme preuve de notre existence éphémère. M’asseyant au dernier rang du théâtre antique, éclairé par le coucher doux et chaleureux du soleil qui signalait l’heure de mon départ, j’ai écouté Stranger in the Alps, l’un de mes albums préférés de Phoebe Bridgers, espérant trouver un peu de sens dans le choc entre le moderne et l’antique.

Par Lucas Donat, VWPP Automne 2024

Mon expérience au Clos de la Meslerie (un vignoble près de Tours)

Il y a un mois nous avons passé deux semaines à Tours pour notre orientation et j’y suis déjà retourné, mais cette fois pour une expérience très différente. J’ai une amie qui travaille dans un vignoble de son oncle pendant son année de césure. Elle était vraiment sympa et m’a invité à travailler et rester chez eux pour un week-end.


Je suis arrivé avant le dîner vendredi soir dans une maison tellement magnifique. La maison était construite en 1621, un manoir de campagne. Il ressemble à la maison de Monet, qu’on a vue deux semaines avant. L’intérieur est aussi fantastique que l’extérieur; des salles avec des murs de couleur brillante, de grandes fenêtres et des meubles vieux. Je crois rêver ! C’était un répit parfait des bruits et activités de Paris. Le lendemain, je me suis réveillé tôt pour commencer la vendange (la récolte des raisins). On pouvait voir le lever du soleil sur les collines des vignobles (vraiment, je ne dors pas ?).


Nous avons travaillé dans un groupe avec un couple de Bulgares et avec des Ukrainiens qui travaillent en France depuis qu’ils ont fuit la guerre. On a bu du café en mangeant des madeleines dans l’air froid du matin avant le début de la récolte. Il faut travailler en binôme et allant vers le bas pour trouver les raisins. On les coupe avec des sécateurs et on les mets dans une boîte. Finalement, quand les boîtes sont remplies, on les charge sur un diable derrière un tracteur qui les apporte à la presse. Le processus n’est pas difficile ou compliqué, mais il y a beaucoup de raisins et ça prend du temps de le faire. C’était dur, beaucoup plus dur que je pensais, et mes genoux et mon dos me faisaient mal. Néanmoins, le soleil brillait et le paysage était magnifique, alors c’était un très bon moment.


Le groupe a récolté jusqu’à treize heure (avec une pause à dix heures pour plus de café, des madeleines et du chocolat, bien sûr). Nous croyions qu’il faudrait travailler toute la journée et le lendemain, mais Peter, le propriétaire du vignoble, nous a dit que les raisins n’étaient pas prêts. Pendant le printemps et l’été il pleuvait trop, signifiant que les vignes étaient sensibles aux maladies. Malheureusement, toutes les plantes ont eu de la moisissure et la plupart des raisins sont morts. De plus, les raisins encore vivants ont grandi inégalement. Peter espérait que la récolte serait meilleure la semaine prochaine, donc on a arrêté pour le week-end. C’était dommage, mais c’est la vie pour les fermes pendant le changement climatique. La vie continue et nous avons passé le reste du temps dehors, en parlant, lisant, et buvant du vin dans le paysage merveilleux jusqu’au départ de mon train à Paris.

Par Dash Merrill, VWPP Automne 2024

Deux jours à Nice !

Deux jours à Nice ! La première chose à noter est définitivement la nourriture. Juste après avoir atterri, nous sommes allées dans un restaurant de sushi, où nous avons mangé des sushi —évidemment— et aussi un poke bowl, des gyozas, et des litchis. Puis, le soir, nous avons mangé dans un restaurant vietnamien. Le serveur a dit que certains plats étaient épicés, et j’étais très étonnée quand je me suis rendue compte qu’il avait raison, puisqu’il est difficile, à mon avis, de trouver de la nourriture vraiment ‘spicy’ en France. Tout était très bon, et le serveur a parlé avec moi et Elizabeth (en français), ce qui serait bizarre à Paris. Le jour suivant, nous avons mangé dans un petit restaurant de falafel, aussi très bon. Mais la meilleure chose qu’on a mangée, à mon avis, ont été les pâtes qu’on a fait la dernière nuit à l’appartement. C’est la recette de ma mère, pas trop compliqué : des anchois, ail, persil, et un peu de piments Jalapeño à l’huile d’olive. Nous les avons mangé avec du vin blanc et du poulet préparé par Lilah, notre amie qui était en train d’étudier à Amsterdam.

À part la nourriture, Nice est une ville très belle, spécialement pour se promener. Après le restaurant de sushi, nous sommes allées dans un petit parc qui était en haut d’une colline. Il y avait une cascade, beaucoup d’arbres et de verdure, et une vue magnifique de la ville et la mer bleue au bout ! Nous avons pris des photos, et puis nous sommes allées dans un petit café. Nous avons profité du reste du temps pour nous promener à Nice, et pour dormir, lire et parler entre nous de notre temps en Europe.

Par Sofia Leautaud, VWPP Printemps 2024

Les vacances de Nicholas en Méditerrannée

Pendant les vacances de printemps, j’ai fait un voyage incroyablement amusant à Marrakech, Fès et Marseille. Nous avons d’abord pris l’avion pour Marrakech où nous avons exploré les grands marchés de Jemaa el-Fna. Il y avait de nombreux stands vendant des jus de fruits fraîchement pressés, des vendeurs de toutes sortes et, peut-être mon préféré, des vendeurs de dattes. La place était animée même pendant la journée, mais le soir, elle se transformait lorsque tous les vendeurs de nourriture s’installaient sur la place. Nous sommes allés au Maroc à un moment particulièrement intéressant, puisque nous avons pu observer la fin du ramadan à Marrakech et l’Aïd à Fès. L’une des choses les plus amusantes que nous ayons faites à Marrakech est sans doute d’avoir réservé une excursion en quad dans le désert. Nous avons pu parcourir le désert sur des quads et terminer l’après-midi par un thé sous un abri dans le désert.

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J’ai apprécié Fès encore plus que Marrakech car la ville était beaucoup moins touristique. Les rues étroites de Fès sont étonnantes et particulières – nous avons séjourné dans un airbnb dans l’ancienne médina, ce qui nous a permis de vivre au milieu des rues anciennes. Nous avons exploré les rues de Fès et nous nous sommes perdus à plusieurs reprises dans les passages étroits et sinueux, inondés de linge et de vendeurs de nourriture. L’un des points forts de Fès a été de monter au sommet de la colline pour visiter les anciens tombeaux, d’où l’on a une vue magnifique sur l’ensemble de la ville. Avec l’arrivée de l’Aïd, l’ambiance de la ville a changé du tout au tout avec le début de la semaine de fête.

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Après Fès, nous nous sommes rendus à Marseille pour quelques jours. Ici, j’ai eu l’impression d’avoir une bien meilleure perception de la ville, avec ce beau mélange de grande ville et de côte méditerranéenne. L’un des aspects que je préfère à Marseille est qu’à seulement 30 minutes en bus, vous pouvez vous rendre dans les Calanques où vous pouvez faire de la randonnée et avoir une vue sur la magnifique côte marseillaise. Nous avons fait une randonnée jusqu’aux Calanques Sormiou, nous nous sommes baignés sur la plage, puis nous avons grimpé sur les falaises pour avoir une vue sur la baie. Marseille est une ville dynamique et animée, tout en conservant une ambiance méditerranéenne tranquille. Je recommande fortement ce voyage à toute personne intéressée. Les seules modifications que j’apporterais au voyage seraient de rester moins longtemps à Marrakech et plus longtemps à Fès ou dans une autre ville comme Rabat.

Par Nicholas Bither, VWPP Printemps 2024

Mon Séjour à Montpellier

Pendant la première semaine des vacances de printemps, j’ai voyagé à Montpellier avec ma colocataire, Emily. Il y avait longtemps que j’avais décidé que je devais visiter cette ville – plus de quatre ans. Au lycée, je m’étais préparée à aller à Montpellier pour un mois dans un programme d’immersion avec mes camarades de classe, mais l’expérience est devenue impossible à cause de la pandémie. Quatre ans plus tard, je suis plus âgée et plus libre, et j’ai exploré la ville avec mon amie pendant deux jours.

J’adore l’architecture du sud de la France, et Montpellier n’est pas une exception. Comme à Paris, les bâtiments sont faits en pierre brun clair, mais leurs façades ont souvent l’air très âgées et ornées, un style qui me fait penser à l’antiquité. La pierre est complémentée par les toits terracottas dont la couleur orange reflète la chaleur forte du soleil. Depuis la Promenade de Peyrou, nous a avons eu une vue merveilleuse des toits et des autres beaux éléments de la ville. On pouvait voir un mélange de styles et d’histoires, comme l’église et la grande sculpture d’une croix, l’Aqueduc des Arceaux, et un château d’eau qui ressemble à un temple pour un dieu ancien.


Un de mes moments favoris de ce séjour était notre visite au Musée Fabre. Le musée était beaucoup plus grand que je ne l’imaginais et il était plein d’œuvres du moyen âge jusqu’au présent. J’ai particulièrement apprécié les salles dédiées à Fabre. Chaque mur était une mosaïque de tableaux, faisant penser à des salons du XVIIIème siècle à Paris. J’ai aimé ma visite à Montpellier et je suis contente que ce semestre m’ait donné l’opportunité d’y aller.

Par Becca Spence, VWPP Printemps 2024

La confluence de Lyon (1/2)

Notre séjour à Lyon a commencé par une visite à la commune – mais pas le type classique. Cette commune est un incubateur culinaire, une foire alimentaire avec de la nourriture japonaise, afghane, marocaine, ainsi que des fontaines de bières à la pression. Certes Lyon possède une histoire longue de gastronomie excellente, mais la vraie marque d’excellence est sans doute sa détermination à soutenir des talents nouveaux.

Après avoir bien mangé, la pièce de résistance à Lyon en ce qui concerne des sites touristiques se trouve à la confluence iconique des deux fleuves – le Musée des Confluences. Sa structure sévère faite de verre et d’acier attire l’attention à des kilomètres. Ce mois-ci, les conservateurs du musée présentent une exposition temporaire sur des épidémies mondiales à travers l’histoire. Il s’agit d’un sujet aussi fascinant qu’il est pertinent, et nous avons appris comment les anciennes civilisations ont mélangé leur connaissance primitive de la science et leur foi pour faire face à cette menace existentielle.

L’histoire continue dans le Vieux Lyon (situé à peu près un million d’escaliers au-dessus du niveau de l’eau) où les gens font des pique-niques dans les ruines d’un amphithéâtre romain : le Lugdunum. Je le recommande fortement pour sa belle vue, mais soyez prêt à monter !

Par Erin Mutchek, VWPP Printemps 2024

Voyages à Saumur et Angers

Pour célébrer la fin du semestre, mon hôte Jocelyne m’a invité chez elle à Saumur, une ville à deux heures et demie au sud-ouest de Paris. Sa maison est un magnifique ancien moulin rénové, construit sur une rivière qui se jette dans la Loire. La maison se trouve à une vingtaine de minutes du centre de Saumur, et nous avons passé la journée à visiter la ville et à nous promener dans le parc du Château de Saumur. Après un croissant et un café, nous sommes allées au Cadre Noir. Le Cadre est l’un des centres équestres les plus célèbres en Europe. Fondé en 1828, leur mission historique était de former les officiers de la cavalerie française. Aujourd’hui, il accueille des cavaliers militaires et civils qui s’entraînent dans les différents styles d’équitation. Il était fascinant de découvrir la tradition et la culture équestre française, et de comprendre l’importance régionale de la vallée de la Loire. Certains des chevaux du Cadre Noir participeront aux Jeux Olympiques de Paris cet été, et nous avons vu leur entraînement. Après ce merveilleuse séjour avec Jocelyne, j’ai pris le train jusqu’à Angers. Je suis allée à Angers pour rendre visite à la famille d’accueil avec laquelle j’ai séjourné pendant quatre mois à l’âge de 16 ans. Mes hôtes d’Angers sont devenus comme une deuxième famille pour moi, et c’était tellement sympa de se revoir après la pandémie.

J’ai passé le reste du week-end avec eux, nous avons visité un parc de kangourous et ma mère d’accueil a préparé mon plat français préféré : la tartiflette. Dans le train pour rentrer à Paris, j’ai ressenti une immense gratitude pour la chance que j’ai eu de vivre avec deux familles d’accueil. De vivre à Paris et à Angers a été l’une de mes expériences les plus enrichissantes. Je me sens très chanceuse d’avoir pu étudier à l’étranger d’une façon aussi merveilleuse ce semestre.

Par Avery Patterson, VWPP Printemps 2024

Rien de tel que Toulouse !

En février, j’ai visité Toulouse, une ville au sud-ouest de la France, avec une amie que j’ai rencontrée à la Sorbonne. Nous avons commencé notre voyage avec un train de nuit direct vers Toulouse, où nous sommes arrivés à 6h30 du matin. Après un enregistrement tranquille à notre airbnb, nous avons décidé de marcher un peu. Contrairement à Paris, il faisait beau à Toulouse, 20 degrés en février ! Toulouse a le surnom “la ville rose” à cause de tous les bâtiments utilisant des briques roses. Nous avons visité la basilique Saint-Sernin tout d’abord, et c’était magnifique. Beaucoup de chandeliers et tapisseries sont accrochés au-dessus des bancs.

Après ça, nous nous sommes promenés au bord de la Garonne, une grande rivière qui divise la ville en deux. Nous avons fini notre promenade avec le petit déjeuner et une visite à la Fondation Bemberg, le musée le plus célèbre de Toulouse. Nous avons passé le reste de la journée à visiter les rues et magasins qui semblaient intéressants.

Le deuxième jour, nous avons commencé à côté du canal. Toulouse est une ville avec beaucoup d’endroits épatants pour les promenades. Le canal nous mène au jardin japonais qui est petit mais très joli. Après ça, nous avons visité le couvent des Jacobins, qui chaque semaine organise une visite nocturne avec les lanternes à travers le couvent ! Le dernier site que nous avons vu avant le dîner c’était le jardin des plantes, qui est à mon avis le meilleur endroit de Toulouse. Beaucoup de plantes et cascades, c’est juste à côté d’une université et d’un musée d’histoire naturelle et il y a beaucoup de pelouses pour les enfants. Nous avons fini notre visite avec un concert de jazz juste à côté de la Garonne. J’adore Toulouse et après cette visite, je crois qu’il faut que j’y retourne un jour.

Par Braeden Ingram, VWPP Printemps 2024

Un week-end à Nice (et à Monaco) !

Ce week-end, j’ai visité la magnifique ville de Nice sur la Côte d’Azur et Monaco. Nichée entre les montagnes et la mer Méditerranée, Nice offre une combinaison envoûtante de culture, d’histoire et de beauté naturelle. Les Niçois que j’ai rencontrés étaient très gentils. En plus, ils étaient ravis de rencontrer une personne qui parle français. Il arrivait moins souvent que les gens me répondent en anglais. C’est plus facile de parler français à Nice qu’à Paris.
Ma première étape a été la Colline du Château, qui offre une vue panoramique sur la ville
et la mer. Après je me suis promenée dans la vieille ville, avec ses ruelles étroites, ses bâtiments colorés et ses charmantes boutiques. On s’y est reposé avec des cafés et on entendait une chute d’eau à proximité. J’ai flâné dans les ruelles de la vieille ville. Ensuite, j’ai admiré les fleurs au marché aux fleurs. J’ai passé une heure et demie dans le petit magasin de tricot : Aux Belles Laines. J’ai découvert deux nouvelles entreprises françaises qui produisent de la laine. Du coup, j’ai acheté de la laine bleu pour faire un bonnet pour mon père. Ensuite, je me suis dirigée vers l’Opéra Plage, où j’ai mangé des bonnes fraises. La Promenade des Anglais, bordée de palmiers, était l’endroit idéal pour une agréable promenade au bord de la mer.

Le dimanche, j’ai également fait un saut rapide à Monaco pour visiter le célèbre Musée
océanographique de Monaco, qui abrite une collection époustouflante d’espèces marines. Mon animal préféré là-bas était la méduse tachetée d’Australie. Elles sont très belles et lumineuses.

Par Elizabeth Campagna, VWPP Printemps 2024