Ma visite au Musée d’Orsay

Pendant mon séjour ici à Paris, j’ai visité le Musée d’Orsay. C’était une expérience incroyable d’être dans un bâtiment si beau avec toute l’architecture pittoresque et les œuvres différentes comme celle que vous voyez ci-dessus. Le peinture s’appelle “Entrée du port de La Rochelle” par Paul Signac. Cette œuvre est une huile sur toile et une peinture de la période moderne appartenant au style pointilliste. Je l’ai trouvé dans l’exposition sur Claude Monet. Je l’aimais beaucoup parce que la peinture est très lumineuse comme il y a une lumière dans chaque partie de la peinture. C’était très intéressant à voir en personne car une photo n’est pas pareille que l’expérience de voir les détails individuels dans la peinture. Vous pouvez voir chaque détail et comment la peinture s’allume avec les couleurs différentes et le placement des coups de pinceaux. L’atmosphère qui accompagne cette peinture me plait beaucoup. En plus, le Musée d’Orsay a contenu d’autres peintures et sculptures d’origines différentes et à propos des concepts différents aussi (la guerre, le colonialisme, les légendes des cultures mythologiques différentes, les environnements beaux, la vie quotidienne à des périodes différentes, etc.). Par exemple, il y avait une statue de bronze et onyx sur piédouche en porphyre des Vosges s’appelant Homme du Soudan en costume algérien qui me plaisait. Cette œuvre a été créée par un sculpteur qui s’appelle Charles Cordier qui est né à Cambrai en 1827 et mort à Alger en 1905. Le titre historique est Négre, costume algérien (Salon de 1857) et selon la description de la peinture donnée par le Musée d’Orsay, “Charles Cordier se donne pour objectif, dès la fin des années 1840, de représenter diverses formes de la beauté à travers la variété des physionomies humaines. Il obtient en 1856 une bourse du gouvernement pour une mission ethnographique en Algérie, dont il rapporte notamment ce buste, exposé au Salon de 1857 sous le titre alors banal de ‘Nègre, costume algérien”. On sait peu de choses de l’identité du modèle, mais le sculpteur lui a donné fière allure, notamment par l’usage de l’onyx algérien, dont les couleurs et les motifs permettent de suggérer la richesse des costumes locaux.”

 

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Par Zoe Bogan, Wesleyan University, VWPP Printemps 2023